Essai sur la jalousie , L'enfer proustien dimanche 12 décembre 2010 09h54 Vu ce matin, 12 décembre, à La Grande Librairie de France 5 : Essai sur la jalousie , L'enfer proustien Tweet Essai sur la jalousie , L'enfer proustienNicolas Grimaldi Essai (broché). Paru en 09/2010 Expédié sous 4 à 8 jours Livraison prévue pour Noël POUR COMMANDER « – Êtes-vous jaloux ? Quand on l’est un peu, cela n’est pas tout à fait désagréable. Cela permet à des gens qui ne sont pas curieux de s’intéresser à la vie des autres personnes, ou au moins d’une autre. Et puis, cela fait assez bien sentir la douceur de posséder. Mais cela, ce n’est que dans les tout premiers débuts du mal ou quand la guérison est presque complète. Dans l’intervalle, c’est le plus affreux des supplices. »Comme l’étude des maladies permet de mieux comprendre le fonctionnement normal de la physiologie, c’est la vie de l’imaginaire que j’ai tenté de décrire en étudiant la jalousie comme l’une de ses formes les plus ordinairement délirantes.Ancien professeur à la Sorbonne, Nicolas Grimaldi a consacré la plupart de ses ouvrages à élucider la vie de la conscience et l’expérience de la subjectivité : l’imagination, l’attente, le désir et le temps. Son dernier livre, Une démence ordinaire, analysait la généalogie du fanatisme et du totalitarisme. Vu ce matin, 12 décembre, à La Grande Librairie de France 5 Lien permanent Catégories : Essai sur la jalousie , L'enfer proustien, La Grande Librairie de France 5 0 commentaire
dimanche 12 décembre 2010 09h54 Vu ce matin, 12 décembre, à La Grande Librairie de France 5 : Essai sur la jalousie , L'enfer proustien Tweet Essai sur la jalousie , L'enfer proustienNicolas Grimaldi Essai (broché). Paru en 09/2010 Expédié sous 4 à 8 jours Livraison prévue pour Noël POUR COMMANDER « – Êtes-vous jaloux ? Quand on l’est un peu, cela n’est pas tout à fait désagréable. Cela permet à des gens qui ne sont pas curieux de s’intéresser à la vie des autres personnes, ou au moins d’une autre. Et puis, cela fait assez bien sentir la douceur de posséder. Mais cela, ce n’est que dans les tout premiers débuts du mal ou quand la guérison est presque complète. Dans l’intervalle, c’est le plus affreux des supplices. »Comme l’étude des maladies permet de mieux comprendre le fonctionnement normal de la physiologie, c’est la vie de l’imaginaire que j’ai tenté de décrire en étudiant la jalousie comme l’une de ses formes les plus ordinairement délirantes.Ancien professeur à la Sorbonne, Nicolas Grimaldi a consacré la plupart de ses ouvrages à élucider la vie de la conscience et l’expérience de la subjectivité : l’imagination, l’attente, le désir et le temps. Son dernier livre, Une démence ordinaire, analysait la généalogie du fanatisme et du totalitarisme. Vu ce matin, 12 décembre, à La Grande Librairie de France 5 Lien permanent Catégories : Essai sur la jalousie , L'enfer proustien, La Grande Librairie de France 5 0 commentaire